Lysandre Durville

Dans le film Trente Six Quinze Foutrer les Minets pendant que tout Paris couine sous les coups de boutoir et les doses de sperme notre beau dimanche avance doucement. Le soleil suit sa course dans le magnifique ciel. Pas un nuage à l'horizon. Un dimanche superbe. Pendant ce temps Lysandre pourrait rager d'être coincé dans son nouvel appartement dont il doit repeindre les murs alors qu'il fait si beau dehors. C'est comme s'il entendait les autres gueuler de plaisir. Avec son physique de rêve il pourrait se taper 10, 15 mecs dans la journee. Lysandre ressemble à un ange. Le minet est splendide, superbe, trop beau, vraiment. Queue, cul, corps, gueule, sourire, tout est sublime chez lui, la bombasse, et cette petite merveille passe son dimanche seul à repeindre ses murs. Mais non. Grâce au minitel ça ne se passera pas comme ça.
L'altitude de son escabeau lui ferait-elle perdre la tête ?

Cette scène est extraite du film Trente Six Quinze Foutrer les Minets.
C'était les années 90… Les lieux de drague… le minitel... Dans ce film : Pendant qu'Augustin la pute couine sous le ramonage intensif de Jacques, pendant que tout Paris couine sous les coups de boutoir et les doses de sperme notre beau dimanche avance doucement. Le soleil suit sa course dans le magnifique ciel. Pas un nuage à l'horizon. Un dimanche superbe. Seb est toujours coincé en famille, le garde Forestier sur son minitel, et tous les garçons que nous avons suivis depuis le début du film (ils sont 19 dans 3615 foutrer les minets) vont... et viennent... à leurs occupations, volent de trous en bouches, sperment ou avalent, enculent ou se font piner. Les minitels chauffent autant que leurs utilisateurs et notre indiscrète caméra n'en perd pas une miette.

Pendant ce temps Lysandre pourrait rager d'etre coincé dans son nouvel appartement dont il doit repeindre les murs alors qu'il fait si beau dehors. C'est comme s'il entendait les autres gueuler de plaisir. Avec son physique de rêve il pourrait se taper 10, 15 mecs dans la journee. Lysandre ressemble à un ange. Le minet est splendide, superbe, trop beau, vraiment. Queue, cul, corps, gueule, sourire, tout est sublime chez lui, la bombasse, et cette petite merveille passe son dimanche seul à repeindre ses murs. Mais non. Grâce au minitel ça ne se passera pas comme ça. Lysandre pianote de temps en temps, a laissé la porte ouverte, donne son adresse à tout le monde et peint à poil sur son escabeau. Quand un mec arrive la salope tend le cul et l'allume a mort, peint dans des positions acrobatiques, et s'exhibe comme la pire des putes...
L'altitude de son escabeau lui ferait-elle perdre la tête ?
Bon, évidemment, un des mecs, d'ailleurs on le connait celui-là, il sort de la partouze du strip-poker, mais quel bomec, regardez ça, putain de petit sportif, trop beau celui-là, évidemment lui il n'est pas du genre à juste regarder, il choppe la queue de la pute qui s'exhibait et qui du coup se met à couiner, et lui traie la queue. Il le branle, le suce, le pompe et évidemment la pute crache son jus dans la bouche du beau gosse. Le beau mec repart vers d'autres aventures et Lysandre continue sa peinture... calmé ? Non, pas calmé du tout, il rebande deja... d'autres viendront.

Pendant ce temps, un petit survol rapide de Paris et nous entrons chez Pierre un photographe plus que malin. Sous prétexte de séance photo il a réussi à chopper par minitel le ptit Fred (qui s'était fait spermer la bouche par le petit bourge en scène 4). En principe ce genre de minets baisent entre eux, et le photographe est carrément moche. Moche mais bien baratineur. Par minitel, par téléphone, puis en direct il est très convaincant, et voilà déjà Fred à quatre-pates, jambes écartées, cul béant devant l'appareil photo. Je parierais qu'il n'y a pas de pellicule dans l'appareil. Fred exhibe son trou devant le photographe et un de ses potes qui tient les lumières de bien curieuse façon, une main qui tient le projo, lautre qui branle la queue du minet. Mais Fred ne proteste pas, il ne peut pas, le photographe lui a enfoncé sa queue dans la bouche, se branle dedans et lui sperme la gueule... et mes photos je les aurai quand ? Fred...

Un dimanche passé à bouffer du foutre... un beau dimanche d'été... et c'est loin d'etre fini.